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Vous êtes ici : Accueil1 / rubriques2 / Chroniques3 / À quel seuil l’acquisition de richesses devient-elle une exploitation?...
Lettres ouvertes
9 janvier 2025

À quel seuil l’acquisition de richesses devient-elle une exploitation?

Il en va de ce seuil comme de la ligne rouge lorsque l’on parle de violations des droits de l’homme, par exemple lors de conflits armés. Si cette ligne existe, elle n’est généralement perçue que lorsqu’elle est franchie. Pour remédier à cette situation, des règles sont édictées pour fixer ce seuil, dans l’intention de les respecter.

Les multinationales, tout comme les groupes nationaux selon notre conception de l’économie, recherchent le profit. Au niveau national, nous veillons à ce que le travail des enfants ne soit pas pratiqué, à ce que certains droits de propriété soient respectés, à ce que les rivières et les ruisseaux ne soient pas pollués, à ce que des régions entières ne soient pas défigurées, et bien d’autres choses encore. Si une entreprise ne respecte pas ces évidences, elle doit être sanctionnée – en tout cas, elle devrait en être.

Ce qui s’applique aux entreprises nationales devrait tout aussi naturellement s’appliquer aux multinationales. Mais ce n’est pas le cas en Suisse, comme le montre l’exemple de Glencore. Glencore est fier d’être une entreprise suisse ; il est donc du ressort de la Suisse d’évaluer les pratiques de l’entreprise selon les règles en vigueur en Suisse et de les sanctionner si elles sont violées.

Il y a quelques années, nous avons voté en Suisse pour savoir si elle devait s’arroger le droit de mettre les multinationales face à leurs responsabilités.

La majorité de notre peuple était tout à fait favorable à cette idée, mais le vote a échoué à cause de la majorité des cantons. Entre-temps, divers autres pays ont établi des règles, seule la Suisse se tient presque seule à l’écart, laissant les multinationales agir à leur guise.

Une nouvelle initiative prend un nouvel élan et récolte des signatures à grande échelle dans presque toutes les villes, villages et hameaux de Suisse les samedis 11 et 18 janvier 2025.

Dans le Val-de-Travers ? Un petit groupe, pour l’instant, a pris le travail à bras le corps, en déclarant : ce que nous demandons est une évidence : lorsque des multinationales comme Glencore polluent des rivières ou détruisent des régions entières, elles doivent être tenues responsables.

Groupe du Val-de-Travers Coalition pour des multinationales responsables

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