Des nouvelles de Barak
À la suite d’allégements des mesures sanitaires liées au Covid-19, Barak profite de ces quelques lignes pour se rappeler à vous.
Bien que son accueil libre ait été fermé en raison des risques sanitaires auxquels nous sommes tous à présent habitués, le centre a préservé un lien avec les adolescents au long de l’année 2020, début 2021.
Lors de la première vague et de la fermeture complète de Barak, l’équipe d’animation et les jeunes ont entretenu de nombreux contacts au travers des réseaux sociaux. Dès sa réouverture toute mesurée en juin 2020, l’institution et les jeunes ont travaillé conjointement afin de trouver un compromis entre accueil et mesures sanitaires.
Quatre après-midi par semaine, le centre propose deux temps d’accueil Covid d’une heure trente chacun, pour 10 personnes maximum, lors desquels les mesures sanitaires sont appliquées.
Bien que ces ouvertures ne répondent pas aux besoins des adolescents, la fréquentation de la structure étant d’environ 300 jeunes jusqu’à fin février. Les animateurs ont accueilli 80 jeunes de juillet à novembre 2020.
Lors de la seconde vague et la limitation à 5 personnes, Barak a proposé une permanence de 9 h 30 à 17 h quatre jours par semaine où les adolescents ont été accueillis individuellement ou à deux au maximum. La forme d’accueil pour 10 personnes est à nouveau possible depuis mi-février 2021.
Ce lieu de rencontre pour les adolescents du Val-de-Travers contribue au lien social, à la promotion de la prévention et de l’intégration des jeunes de toutes situations. Barak tient un rôle important dans leur vie durant cette période agitée et incertaine actuelle.
L’association bénéficie des subventions des communes du Val-de-Travers et il s’avère que la demande des jeunes a engendré un encadrement plus conséquent. Celui-ci est assuré par une équipe de professionnels dont le responsable, praticien formateur, accompagne un étudiant en formation en emploi et un apprenti assistant socio-éducatif.
Le comité de 13 bénévoles, formé depuis octobre 2020, met tout en œuvre pour trouver les fonds nécessaires afin de pérenniser son fonctionnement.
Les animateurs et
le comité Barak, Fleurier