La subvention des refuges pour chiens et chats
Je ne prétends pas être le seul, mais j’aime tous les animaux (les souris et les araignées, un peu moins !)
Toutefois, quand on considère les animaux domestiqués, d’autres considérations entrent en jeu. J’estime que nous en avons une certaine responsabilité puisque, en les sortant de leur milieu naturel, nous les avons rendu dépendants, et quand nous les abandonnons (parfois pour des raisons que nous trouvons parfaitement légitimes) leur sort est sérieusement mis en question.
En apprenant les difficultés, principalement financières, des refuges pour chiens et chats dans notre canton, je me suis dit que le taxe des chiens, que tout propriétaire doit à sa commune, pourrait aller aux refuges (en partie ou totalement) pour subventionner un problème dont nous avons en grande partie la responsabilité.
Si je comprends la grogne du citoyen « ni chien, ni chat » de payer une taxe supplémentaire pour « ces bestioles », en revanche, je pense que le « citoyen Milou ou Minouche » paierait son obole avec moins de ronchonnement en sachant où va son argent.
Richard Wilson, Travers