ça suffit !
Samedi 27 février, la 3e manifestation organisée par les restaurateurs au chômage forcé a eu lieu dans un froid mordant à Neuchâtel. Les manifestants demandaient la liberté et leur « ça suffit » résume bien le ras-le-bol non seulement du secteur des cafés-restaurants mais aussi des associations culturelles. Les amateurs de danse et de musique avec leurs facettes et ramifications multiples, la naturopathie, le fitness, le yoga, la gym, les sociétés de carnaval, les troupes de théâtre, les petites et moyennes entreprises, les globe-trotteurs et j’en passe… sont tous à la même enseigne : les mesures de distanciation sont contraires à leur philosophie et ont créé une grande frustration qui, après une année d’obéissance, devient de jour en jour plus visible et palpable (si c’est permis de le dire !) à cela s’ajoute le sentiment d’avoir été infantilisés, manipulés par la peur et menés tels des pions.
Soit par intuition, soit en se référant aux chiffres de mortalité qui en Suisse sont comparables à d’autres années, beaucoup arrivent à la conclusion que ça suffit. Jamais dans l’histoire de l’humanité, les mesures sanitaires ont été si drastiques et ni le confinement ni les masques obligatoires ont arrêté le virus qui, d’après les autorités, ne cesse de muter.
Il arrive le moment où les humains veulent reprendre leur vie et donc leur santé (physique et mentale) en mains au lieu d’être sidérés, robotisés et muselés.
Le passeport sanitaire n’inspire pas plus d’enthousiasme car une de nos libertés fondamentales est menacée, celle de nous déplacer sans subir des injections expérimentales.
Un grand merci aux organisateurs des manifestations et à tous ceux et celles qui défendent nos droits, tels l’avocat Me Carlo Brusa et l’avocat et médecin Dr Fuellmich qui est en train de mettre en place une « class action » internationale. Reiner Fuellmich est d’ailleurs l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des gaz d’échappement. Merci à ces grosses pointures qui osent nous défendre contre une déshumanisation croissante.
Brigitte Schoebi,
La Côte-aux-Fées