Défis pour la conscience
La conscience vient du domaine spirituel mais elle est directement en contact avec nos décisions et nos actions. Elle influence fortement la volonté et la détermination. Être conscient que les éoliennes industrielles ne sont pas en faveur de la nature, qu’elles tuent des millions d’êtres (insectes, chauves-souris, oiseaux…), sans parler de l’infrason nocif pour les mammifères, c’est sortir des fausses croyances (voir aussi les articles parus le 27 mai et 16 septembre 2021).
Faire inoculer une substance faisant partie d’une expérimentation génétique à vos enfants qui risque d’entraîner des effets secondaires à court et à long terme, c’est de l’inconscience grave. Le faire sur soi-même, c’est être complice avec les eugénistes qui souhaitent avoir le contrôle sur la population mondiale. Par contre, les discussions avec des naturopathes, des ostéos, des réflexologues, des professeurs de yoga, des médecins sincères et d’autres personnes non hypnotisées, peuvent élever notre conscience. Un ostéo m’avait dit en mars 2020 déjà qu’on était dans une guerre de consciences. Il est temps d’échapper à la tyrannie mise en place par ceux qui s’enrichissent de manière « pharmamineuse ».
La connexion entre l’intuition, le cœur et la logique fait souvent défaut aux gens qui dirigent les interventions lourdes. Plus que jamais il est vrai que « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». La conscience est renforcée par un régime basé sur la non-violence. Si on veut sortir de la dépression, c’est important de supprimer les substances addictives et toxiques, même prescrites et de se ressourcer par des moyens naturels.
Le sommeil renforce notre immunité et la conscience de nos forces innées. Dormir dans le noir et le calme, à l’abri de la pollution électromagnétique, c’est super important. La 5G, l’internet des objets, fait baisser la conscience. Nous risquons d’être traités nous-mêmes comme des objets et nos belles qualités humaines s’émiettent. La 5G est conçue pour la surveillance totale et nos droits constitutionnels sont bafoués en parallèle avec la déshumanisation. Ainsi, on caresse les écrans à longueur de journée au lieu de caresser nos proches… ce qui met tout le monde de mauvais poil. On s’expose à la pensée unique et à des mesures humiliantes au lieu d’utiliser notre imagination créative dans la conscience de notre souveraineté.
L’antidote ? Construire notre monde à nous avec des gens qui ont compris que la vie est réelle, sensuelle et joyeuse et qu’on peut faire revivre les chants, les danses, les jeux, les blagues, les contes, les conversations qui nourrissent l’affectivité, les balades à deux ou plusieurs… dans la bienveillance.
Dès que vous décidez que c’est cela que vous souhaitez, vous allez faire des rencontres qui profitent à votre cercle d’amis et vous sortent de la morosité. La liberté, c’est vivre selon sa conscience et pour cela on n’a pas besoin de diplômes universitaires ou d’applications spéciales. La technocratie, en admettant que c’est une nouvelle religion, ne fait rien d’autre que de fournir des outils. Chacun peut décider comment il veut les utiliser… ou pas.
Brigitte Schoebi, Campus des Elfes, La Côte-aux-Fées