Lettres ouvertes
Jacot Chocolatier
À la suite de l’article paru jeudi 1er juillet, celui qui a évité la faillite du Chocolatier néraoui tiens à préciser ce qui suit.
Le 1er octobre 1970, j’ai rejoint la petite entreprise de mes parents et nous avons commencé à fabriquer du chocolat, des spécialités, des truffes et pralinés avec passion et persévérance, nous avons travaillé avec acharnement au développement de notre petite entreprise.
Au décès de mon papa en 1988, j’ai continué seul à la tête de l’entreprise avec l’aide de mes employés.
Le 31 décembre 2012, après 42 ans passés dans mon labo, j’ai trouvé un reprenneur à qui j’ai vendu Jacot Chocolatier, repreneur qui a, malheureusement, fait faillite.
Francis Jacot, confiseur,
Noiraigue