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Valtra fait de la résilience
On dit de quelqu’un qu’il est résilient lorsqu’il parvient à faire face à des événements négatifs. Au lieu de sombrer dans la tristesse, il arrive à s’en servir pour devenir plus fort et plus serein en l’avenir. Voilà une définition qui résonne drôlement avec les dernières semaines vécues par le club de volley du Val-de-Travers.
Après avoir quasiment remanié toute sa première équipe féminine, qui évolue dans l’élite du championnat suisse, Valtra s’est heurté à un début de saison difficile. Huis clos proclamé pour ses matches, quarantaine dictée à ses joueuses et série de douze défaites d’affilée. Beaucoup de clubs auraient baissé les bras. Pas Valtra !
L’équipe phare du Vallon a renouvelé sa confiance au staff, a mis sous contrat des renforts et s’est injecté une double dose de travail et de détermination. Et ça a fonctionné, le club dirigé par Joëlle Roy a engrangé sa première victoire de l’exercice le 17 janvier contre Toggenburg. Quand la résistance devient résilience, il y a récompense. Pour Valtra !
Malgré ce bel exemple de combativité, il reste encore beaucoup de travail. Mais avec un tel état d’esprit, le VBC Val-de-Travers peut voir loin. En écho, les dirigeants le disent haut et fort
nous sommes dans l’élite du volley suisse et nous y resterons !
Je vous l’ai dit, Valtra compte bien faire de la résilience !
Le Lynx
