Les films
Gladiator II
De Ridley Scott, action, aventure, historique, avec Russell Crowe, Joaquin Phoenix, Connie Nielsen…
Le général romain Maximus est le plus fidèle soutien de l’empereur Marc Aurèle, qu’il a conduit de victoire en victoire avec une bravoure et un dévouement exemplaires. Jaloux du prestige de Maximus, et plus encore de l’amour que lui voue l’empereur, le fils de Marc Aurèle, Commode, s’arroge brutalement le pouvoir, puis ordonne l’arrestation du général et son exécution. Maximus échappe à ses assassins mais ne peut empêcher le massacre de sa famille. Capturé par un marchand d’esclaves, il devient gladiateur et prépare sa vengeance.
Grandir
De Séverine Barde, documentaire.
Vivre une aventure, aussi merveilleuse qu’ordinaire, aux côtés de 5 tout jeunes enfants et de leurs camarades de classe, au sein d’une école primaire implantée dans un quartier genevois à la diversité socio-culturelle assumée. Avoir le privilège de les voir grandir pendant 4 ans en les observant évoluer dans leurs apprentissages scolaires et dans leur découverte de la vie en société.
Le robot sauvage
De Chris Sanders, aventure, animation, avec Lupita Nyong’o, Pedro Pascal, Kit Connor…
Le robot sauvage suit l’incroyable épopée d’un robot – l’unité Rozzum 7134 alias « Roz » – qui, après avoir fait naufrage sur une île déserte, doit apprendre à s’adapter à un environnement hostile en nouant petit à petit des relations avec les animaux de l’île. Il finit par adopter le petit d’une oie, un oison, qui se retrouve orphelin.
Les filles d’Olfa
De Kaouther Ben Hania, documentaire, avec Hend Sabri, Olfa Hamrouni, Eya Chikahoui….
La vie d’Olfa, Tunisienne et mère de 4 filles, oscille entre ombre et lumière. Un jour, ses deux filles aînées disparaissent. Pour combler leur absence, la réalisatrice Kaouther Ben Hania convoque des actrices professionnelles et met en place un dispositif de cinéma hors du commun afin de lever le voile sur l’histoire d’Olfa et ses filles. Un voyage intime fait d’espoir, de rébellion, de violence, de transmission et de sororité qui va questionner le fondement même de nos sociétés.
Amélie Aeschbacher a gardé les bons réflexes lorsqu’il s’agit de poser.
© Katia Chardon