Serait-ce l’heure du POP ?
Les partis politiques se bougent en cette campagne fédérale 2023 ! Alors que le Parti socialiste a ouvert le débat, jeudi soir passé, à la Fleurisia, le Parti ouvrier populaire (POP) a battu le pavé vendredi dernier devant la Migros. Un lieu symboliquement fort en lien avec l’un des chevaux de bataille du POP : le pouvoir d’achat. « Il est en forte baisse dans notre pays, notamment en raison de l’augmentation du ticket de courses. Nous avons aussi à cœur de mener des actions décentralisées des grands centres urbains afin d’être au plus près de la population », évoque Vivian Bologna (secrétaire du parti cantonal). Cette action colle donc avec le slogan du parti : pour n’oublier personne ! Durant plusieurs heures, les candidats ont échangé avec les passants autour d’un verre et de quelques saucisses. Simple et efficace ! Denis de la Reussille était l’un des premiers sur place et il s’était mis dans l’ambiance locale avec une petite absinthe à la main. Le POP propose trois autres noms sur sa liste pour le Conseil national, à savoir Sarah Blum, Laurence Boegli et Julien Gressot. Tout le monde s’accorde à dire que la précarisation de la société se fait de plus en plus galopante ces dernières années. Le POP, ouvrier et populaire, en verra-t-il les effets dans les urnes ?
KVa